La communication non violente : résumé et critique | Marshall B. Rosenberg
Un langage de vie : Des outils qui changent la vie pour des relations saines
La Communication non violente de Marshall Rosenberg est un guide transformateur qui enseigne comment résoudre les conflits et construire des relations plus fortes grâce à l'empathie et au dialogue compatissant - prêt à changer votre façon de communiquer ? 💬
Le livre de Marshall Rosenberg sur la communication non violente est l'un des ouvrages récents les plus influents en matière de communication. Il expose une nouvelle méthode de communication utilisée dans des situations personnelles ou professionnelles.
Les concepts exposés dans ce livre peuvent potentiellement changer votre vie pour le meilleur. Une fois que vous l'aurez lu, vous ne regarderez plus jamais la communication de la même façon.
Le parcours de Marshall Rosenberg
Marshall Rosenberg était un psychologue américain qui a développé la communication non violente (CNV), une méthode de communication axée sur la compréhension des besoins des autres et la résolution des conflits.
Elle repose sur la conviction que tous les êtres humains sont capables de compassion et que nous pouvons nous rapprocher des autres par une communication honnête et empathique.
Rosenberg a passé sa carrière à travailler avec des individus, des familles et des organisations pour les aider à améliorer leurs compétences en communication.
Il a également enseigné la CNV à des officiers de police, des médiateurs, des conseillers et d'autres personnes qui travaillent avec des personnes dans des situations difficiles.
Le travail de Rosenberg a eu une influence sur la résolution des conflits, l'éducation et les affaires.
Introduction
La communication non violente part du principe que tous les êtres humains ont la capacité d'empathie et que nous partageons tous le désir d'être heureux et épanouis.
Lorsque nous interagissons avec les autres en utilisant la communication non violente, nous nous attachons à exprimer nos observations, nos sentiments, nos besoins et nos demandes de manière claire, concise et respectueuse. Nous écoutons aussi profondément les autres lorsqu'ils s'expriment de cette manière.
La communication non violente vise à améliorer notre capacité à nous connecter aux autres et à créer des relations caractérisées par la compréhension et le respect mutuels.
Rappelez-vous que le processus de communication non violente n'est pas un moyen d'obtenir ce que vous voulez des autres. Il s'agit plutôt d'un moyen d'améliorer notre capacité à nous connecter aux autres et à créer des relations caractérisées par la compréhension et le respect mutuels.
Pourquoi la communication non violente fonctionne
La communication non violente est fondée sur notre humanité commune et sur le besoin commun de connexion. Lorsque nous utilisons ce processus, nous pouvons voir les autres non pas comme des adversaires mais comme des êtres humains ayant leurs propres besoins et sentiments.
La communication non violente fonctionne également parce qu'il s'agit d'un processus, et non d'un ensemble de règles. Vous pouvez l'utiliser dans n'importe quelle situation, que vous communiquiez avec un ami, un membre de votre famille, un collègue de travail ou un étranger.
Vous pouvez utiliser ce processus non seulement pour communiquer vos propres sentiments mais aussi pour écouter les autres avec compassion, validation et empathie.
La communication non violente peut vous aider à :
- Mieux se comprendre et comprendre les autres
- S'exprimer plus clairement
- Gérer les conflits de manière constructive
- Construire des relations plus fortes et plus épanouissantes
- Établir des liens plus profonds avec les autres
- Résoudre les différends et créer une compréhension mutuelle
- mieux comprendre vos propres besoins et sentiments
- Communiquer plus efficacement vos besoins et vos sentiments
- Gérer les émotions difficiles de manière saine
StoryShot #1 : Le processus de communication non violente est basé sur l'observation, les sentiments, les besoins et les demandes.
Le processus de communication non violente est un mode d'interaction avec les autres qui fait appel à quatre composantes essentielles : l'observation, le ressenti, les besoins et les demandes. Il combine l'apprentissage de l'expression honnête de soi et l'écoute honnête des autres.
Observer
Dans cette étape, vous observez ce qui se passe sans porter de jugement ou d'évaluation. Cela peut être difficile, mais rappelez-vous que nous essayons tous de satisfaire nos besoins d'une manière ou d'une autre, même si cela ne semble pas être le cas à première vue.
Sentiments
Dans cette étape, vous exprimez vos sentiments sur ce qui se passe. Il est essentiel d'être aussi précis que possible dans cette démarche. Par exemple, plutôt que de dire "Je suis en colère", vous pouvez dire "Je suis frustré parce que je ne suis pas entendu".
Besoin de
L'un des principaux objectifs de la communication non violente est de comprendre les besoins des autres. Il ne s'agit pas de les manipuler pour obtenir ce que l'on veut, mais d'écouter avec l'intention de faire preuve d'empathie.
Pour ce faire, vous devez être conscient de vos sentiments et de vos besoins, ainsi que des sentiments et des besoins des autres. Dans cette étape, vous identifiez les besoins qui sont à l'origine de vos sentiments.
Une fois encore, il est essentiel d'être aussi précis que possible. Par exemple, plutôt que de dire "J'ai besoin d'attention", vous pourriez dire "J'ai besoin de me sentir entendu et valorisé".
Faire des demandes
Après avoir observé la situation et identifié vos propres sentiments et besoins, vous pouvez adresser aux autres des demandes fondées sur ces besoins. Il est important de se rappeler que les demandes doivent être formulées d'une manière respectueuse et claire.
Dans cette étape, vous faites une demande spécifique à l'autre personne qui vous aidera à répondre à vos besoins. Par exemple, vous pouvez dire : "J'aimerais avoir une conversation avec vous sur cette question".
StoryShot #2 : Comprendre la différence entre "je ressens" et "je pense".
Quelle est la différence entre ce que nous ressentons et ce que nous pensons ? Avons-nous le contrôle sur l'un ou l'autre ? Comment faire la différence ?
Lorsque nous utilisons le processus de communication non violente, nous devons faire la distinction entre nos sentiments et nos pensées.
Nos pensées sont basées sur nos croyances et nos jugements sur le monde. Elles sont souvent influencées par nos expériences passées et peuvent être biaisées. Les pensées peuvent également changer en fonction de nouvelles informations.
D'autre part, nos sentiments sont basés sur nos expériences actuelles et ne sont pas influencés par nos expériences ou jugements passés.
Il est essentiel de faire la distinction entre nos pensées et nos sentiments, car nos pensées peuvent parfois faire obstacle à notre capacité d'empathie envers les autres.
Par exemple, si nous pensons : "Cette personne est ridicule", il est peu probable que nous puissions faire preuve d'empathie à son égard. En revanche, si nous pouvons identifier notre sentiment comme étant de la "frustration", nous serons peut-être en mesure de faire preuve d'empathie envers l'autre personne et de comprendre ses besoins.
Lorsque nous pouvons faire la distinction entre nos pensées et nos sentiments, nous pouvons communiquer plus efficacement et entrer plus facilement en contact avec les autres.
StoryShot #3 : Notez la pensée moralisatrice et le langage sans choix
Une fois que vous aurez consciemment concentré votre attention sur la pensée moralisatrice, vous remarquerez peut-être que vous la pratiquez plus souvent que vous ne le souhaiteriez. Voici quelques exemples de pensées à surveiller.
Remarquez comment vous qualifiez les gens
Le fait d'étiqueter les autres ou de faire des suppositions ouvre la porte à la pensée critique et au jugement. Nous faisons une déclaration sur nos croyances, nos valeurs ou nos besoins non satisfaits lorsque nous étiquetons les autres.
Prendre conscience de la langue sans choix
Lorsque nous utilisons les mots "devrait" ou "doit", nous nous limitons et pouvons même susciter un sentiment de honte ou de perfectionnisme. Essayez de remplacer ce langage par "Je veux".
Nous créons un sentiment d'impuissance dans le langage que nous utilisons. Par exemple, "Je ne peux pas faire ça" est différent de "Je choisis de ne pas faire ça". La première expression implique que nous sommes impuissants, tandis que la seconde signifie que nous avons le choix.
Réfléchissez à vos intentions
Lorsque vous êtes coincé dans une pensée moralisatrice, il peut être utile de vous demander quelle est votre intention. Essayez-vous de vous protéger ? Essayez-vous de contrôler la situation ? Essayez-vous de vous sentir mieux dans votre peau ?
Votre intention n'est pas de juger les autres mais de comprendre leurs sentiments et leurs besoins.
StoryShot #4 : Séparer les observations des jugements
Il peut être utile de s'entraîner à faire des observations sans les juger. Cette compétence peut être difficile à maîtriser, mais elle fait partie intégrante de la communication non violente.
Voici un exemple de la façon dont vous pouvez séparer les observations des jugements :
J'ai remarqué que tu as élevé la voix quand tu me parlais.
J'ai remarqué que vous semblez être en colère à cause de cette situation.
Dans la première observation, il n'y a pas de jugement. La deuxième observation comprend un jugement sur la colère de la personne.
Essayez de faire des observations sans les assortir d'un jugement. Cette compétence peut être difficile à maîtriser, mais elle fait partie intégrante de la communication non violente.
Les jugements bloquent la compassion pour nous-mêmes et pour les autres. La première étape pour le désapprendre est de le reconnaître dans vos pensées et conversations quotidiennes.
Les communications qui bloquent la compassion
- Jugements moraux : bien/mal, bon/mauvais...
- Comparaisons : mieux que, pire que
- Déni de responsabilité : ne devrait pas, doit, ne peut pas.
- Langage absolutiste : toujours, jamais
Vous pouvez prendre conscience de ces communications en écoutant les mots et les phrases suivants : should, must, have to, need to, right, wrong, good, bad, better than, or worse than.
Lorsque vous utilisez ces mots, essayez de les remplacer par un langage plus neutre. Par exemple, au lieu de dire "vous avez tort", vous pouvez dire "je ne suis pas d'accord".
StoryShot #5 : Assumez la responsabilité de vos sentiments
Vous devez assumer la responsabilité de vos sentiments avant de pouvoir faire preuve d'une véritable compassion envers vous-même et les autres. Cela signifie que vous ne pouvez pas reprocher aux autres ce que vous ressentez. Vous êtes le seul à pouvoir contrôler ce que vous ressentez.
Par exemple, vous pouvez être en colère si quelqu'un vous coupe la route. Il serait facile de rendre l'autre conducteur responsable de votre colère, mais ce serait lui donner le pouvoir sur vos émotions. Au lieu de cela, vous pouvez vous concentrer sur ce que vous voulez ressentir et prendre des mesures pour y parvenir.
Vous ne pouvez peut-être pas contrôler ce qui vous arrive, mais vous pouvez toujours contrôler la façon dont vous réagissez.
Façons courantes de ne pas prendre ses responsabilités
Nous devons être honnêtes avec nous-mêmes avant de pouvoir l'être avec les autres. La première étape consiste à reconnaître quand nous n'assumons pas la responsabilité de nos sentiments. Voici quelques façons courantes de le faire :
Blâmer les autres ou soi-même
C'est ta faute si je suis en colère.
Je ne devrais pas me sentir comme ça.
Justifier
Ils l'ont bien cherché.
C'est comme ça que j'ai été élevé.
Excuses
Je ne peux pas m'en empêcher.
Ce n'est pas de ma faute.
Jouer la victime
Je ne peux rien faire de bien.
Cela m'arrive toujours.
Punir
Je ne te parlerai plus jamais.
Je vais te faire sentir aussi mal que moi.
Réduire au minimum
Ce n'est pas si grave.
Je suis sûr que ce n'était pas personnel.
Lorsque nous n'assumons pas la responsabilité de nos sentiments, nous renonçons à notre pouvoir de les changer. Au lieu de réagir à nos émotions, nous pouvons choisir comment nous voulons nous sentir et prendre des mesures pour y parvenir.
Façons courantes d'assumer nos responsabilités
Nous pouvons utiliser la communication non violente en quatre étapes pour assumer la responsabilité de nos sentiments. Voici quelques exemples.
Sentir nos besoins et nos sentiments :
Je suis en colère en ce moment.
J'ai besoin de temps pour me calmer.
Exprimer nos besoins et nos sentiments sans porter de jugement :
J'étais en colère quand tu as élevé la voix.
J'ai besoin d'un peu de temps pour me calmer avant de continuer cette discussion.
Faites une demande :
Peut-on en discuter quand je serai plus calme ?
Seriez-vous prêt à en parler plus tard ?
Quelques phrases utiles à utiliser pour assumer la responsabilité de vos sentiments :
"Je me sens ____________ parce que ___________."
"Je choisis d'aller sur ___________ parce que ___________."
"Je veux ___________ parce que ___________."
En assumant la responsabilité de vos sentiments, vous prenez le contrôle de votre vie et de votre bonheur.
StoryShot #6 : Formulez vos besoins et vos désirs en termes positifs.
Quelle est la différence entre une demande et une exigence ? Remarquez comment vous vous parlez à vous-même et aux autres. Trouvez-vous que vous faites beaucoup de demandes ?
Demandes
Une demande est une déclaration de ce que vous aimeriez voir se produire, sans menace implicite de ce qui se passera si votre demande n'est pas satisfaite.
Par exemple, "Pouvez-vous éteindre la télévision ?" est une demande.
Demandes
Une demande est une déclaration de ce que vous voulez avec une menace implicite de ce qui se passera si votre demande n'est pas satisfaite.
Par exemple, "Éteins la télé maintenant, ou je vais l'éteindre pour toi !" est une demande.
Le problème des exigences est qu'elles conduisent souvent à des conflits, car elles reposent sur l'hypothèse que l'autre personne fera ce que vous voulez qu'elle fasse. Cela peut conduire à une lutte de pouvoir et laisser les deux parties avec un sentiment de rancune.
En revanche, les demandes reposent sur l'hypothèse que l'autre personne a le choix de ce qu'elle fait. Ainsi, les deux parties se sentent respectées et sont plus susceptibles de coopérer.
Quelques phrases utiles à utiliser pour faire des demandes :
"Seriez-vous prêt à ___________ ?"
"J'apprécierais que vous ___________."
"J'ai besoin de ___________. Seriez-vous prêt à ___________ ?"
Rappelez-vous que le but n'est pas d'amener l'autre personne à faire ce que vous voulez, mais d'exprimer vos besoins et vos désirs d'une manière respectueuse et non menaçante.
StoryShot #7 : Les besoins sont universels, mais les moyens de les satisfaire ne le sont pas.
Il y a une raison derrière les réactions de chacun. Lorsque nos besoins ne sont pas satisfaits, nous réagissons d'une manière qui peut sembler négative, mais qui n'est qu'une tentative de satisfaire nos besoins.
Par exemple, si vous êtes triste, c'est peut-être parce que vous avez besoin d'amour et de connexion. Si vous êtes en colère, c'est peut-être parce que vous avez besoin de respect ou d'un autre besoin non satisfait.
Des besoins quotidiens que nous avons tous :
- Amour et connexion
- Respecter
- Autonomie et indépendance
- Sûreté et sécurité
- Amusement et jeu
- Signification et objectif
Ce qu'il faut retenir, c'est que chacun essaie de répondre à ses besoins, même s'il s'y prend d'une manière qui n'est pas utile.
Lorsque nous voyons que chacun essaie simplement de satisfaire ses besoins, il devient plus facile de comprendre ses réactions et d'y répondre de manière utile et non nuisible.
StoryShot #8 : Écouter avec empathie en validant et en posant des questions
L'écoute active est une compétence qui s'apprend et se pratique. Elle consiste à être pleinement présent auprès de l'autre personne sans l'interrompre, la juger ou lui donner des conseils.
Au lieu de cela, vous essayez de comprendre le point de vue de l'autre personne. Pour ce faire, vous pouvez réfléchir à ce que vous avez entendu, poser des questions et reformuler les points principaux.
Par exemple, "On dirait que vous êtes en colère à cause de ce qui s'est passé. C'est bien ça ?"
"Pouvez-vous m'en dire plus sur ce que vous ressentez ?"
"On dirait que tu te sens seule en ce moment."
Pratiquer l'écoute active peut aider à améliorer la communication et à créer des liens plus profonds.
Reflétez leurs sentiments et leurs besoins en les paraphrasant.
La validation est très utile. Lorsque les gens se sentent écoutés, ils sont plus susceptibles d'être ouverts à ce que vous avez à dire. Une façon de montrer que vous écoutez est de paraphraser ce que l'autre personne a dit. Cela indique que vous comprenez ce qu'elle dit et contribue à renforcer la confiance.
Par exemple, "Cela semble difficile. Je peux voir comment cela pourrait être vraiment déroutant."
Le but n'est pas d'être d'accord avec l'autre personne mais de lui faire savoir que vous comprenez ce qu'elle ressent.
Comment poser des questions pour identifier les besoins de l'orateur ?
Posez des questions en utilisant le processus en quatre étapes comme guide.
Je remarque que vous ________.
Vous sentez-vous ________ parce que vous avez besoin de ________ ou que vous y attachez de l'importance ?
Voulez-vous consulter le site ________ ?
C'est un moyen efficace de montrer que vous écoutez sincèrement et que vous voulez comprendre le point de vue de l'autre personne.
Réagir avec compassion
La compassion n'est pas synonyme d'accord. Vous n'êtes pas obligé d'approuver les actions ou les paroles de l'autre personne, mais vous pouvez tout de même voir ses besoins et y répondre de manière utile.
Par exemple, "Je vois que tu es vraiment en colère et que tu as besoin d'être entendu. Je suis désolé de ne pas t'avoir écouté plus tôt. Peux-tu m'en dire plus sur ce qui s'est passé ?"
StoryShot #9 : Regardez-vous et vos besoins avec empathie
L'empathie commence par vous-même. Comment vous parlez-vous ? Parleriez-vous à un ami comme vous vous parlez à vous-même ?
Si non, pourquoi ?
Vous méritez la même empathie que celle que vous accorderiez aux autres. N'oubliez pas que chacun essaie simplement de satisfaire ses besoins. Lorsque vous considérez vos réactions comme une tentative de répondre à vos besoins, il devient plus facile de répondre d'une manière qui soit utile plutôt que nuisible.
Pratiquez l'auto-compassion en vous parlant à vous-même avec gentillesse et compréhension.
"Je me sens furieux en ce moment. J'ai besoin de me calmer pour pouvoir penser plus clairement."
"Je peux voir que je me sens seul en ce moment. J'ai besoin de me rapprocher de mes amis et de ma famille."
"Je peux voir que je suis vraiment bouleversé par ce qui s'est passé. J'ai besoin de prendre du temps pour gérer mes sentiments."
Les actions qui empêchent l'empathie
La compassion pour les autres commence en vous-même. Voici quelques façons dont nous faisons obstacle à l'empathie pour les autres et pour nous-mêmes.
- Se juger sévèrement
- Se concentrer sur ce que vous "devriez" faire au lieu de ce que vous voulez faire.
- Se comparer aux autres
- Se dévaloriser
- Se concentrer sur ses défauts
Traitez-vous avec compassion : 4 étapes
L'empathie commence par l'autocompassion. Si vous voulez apprendre à être plus compatissant avec les autres, commencez par vous exercer sur vous-même.
Voici quatre étapes pour commencer :
- Observez vos pensées et vos émotions sans jugement
- Acceptez vos pensées et vos émotions sans jugement
- Réagir à vos pensées et à vos émotions avec compréhension et compassion
- Permettez à vos pensées et à vos émotions d'être telles qu'elles sont, sans jugement.
Il est important d'être gentil avec soi-même. N'oubliez pas que tout le monde essaie simplement de satisfaire ses besoins. Lorsque vous considérez vos réactions comme une tentative de répondre à vos besoins, il devient plus facile de réagir de manière utile plutôt que nuisible.
StoryShot #10 : Arrêtez de vous punir vous-même et les autres
La peur de la punition entrave la bonne volonté et l'estime de soi. Elle engendre la défensive, le ressentiment et le blâme. Lorsque nous nous punissons, nous causons des souffrances inutiles. Nous devenons nos propres geôliers, vivant dans un état constant de peur et de doute de soi.
Si vous vous surprenez à vous punir ou à punir les autres, essayez de voir la situation sous l'angle des besoins. Quel est le besoin qui n'est pas satisfait et qui est à l'origine de cette punition ?
Une fois que vous avez identifié le besoin, vous pouvez commencer à trouver d'autres moyens de le satisfaire de manière positive.
Se punir ou punir les autres ne fait que causer de la souffrance. Il est important de se rappeler que chacun essaie simplement de satisfaire ses besoins. Si vous pouvez identifier le besoin qui n'est pas satisfait, vous pouvez commencer à trouver d'autres façons de le satisfaire qui soient plus bénéfiques.
Résumé final et bilan de la communication non violente
L'empathie ne consiste pas à réparer ou à changer l'autre personne. Il s'agit de la comprendre et de l'accepter telle qu'elle est. Lorsque vous y parvenez, il est beaucoup plus facile d'entrer en contact avec elle.
StoryShot #1 : Le processus de communication non violente est basé sur l'observation, les sentiments, les besoins et les demandes.
Le processus de communication non violente repose sur quatre concepts fondamentaux : l'observation, les sentiments, les besoins et les demandes. Lorsque vous pouvez comprendre et accepter ces quatre concepts, il devient beaucoup plus facile de communiquer efficacement.
StoryShot #2 : Comprendre la différence entre "je ressens" et "je pense".
Il y a une grande différence entre "je sens" et "je pense". Les déclarations "Je sens" sont basées sur des observations, tandis que les déclarations "Je pense" sont basées sur des évaluations et des interprétations. Les déclarations "Je pense" sont beaucoup plus utiles dans la communication car elles sont basées sur des faits.
StoryShot #3 : Notez la pensée moralisatrice et le langage sans choix
L'un des obstacles les plus importants à une communication efficace est le jugement. Lorsque vous êtes pris par le jugement, vous ne pouvez pas voir la perspective de l'autre personne. Vous êtes également plus susceptible d'utiliser un langage sans choix, ce qui est nuisible et inutile.
StoryShot #4 : Séparer les observations des jugements
Il est essentiel de pouvoir séparer les observations des jugements. Les observations sont basées sur des faits, tandis que les jugements sont basés sur des opinions. Lorsque vous pouvez faire cette distinction, il devient beaucoup plus facile de communiquer avec compassion et empathie.
StoryShot #5 : Assumez la responsabilité de vos sentiments
Vos sentiments sont votre responsabilité. Vous ne pouvez pas contrôler ce que ressentent les autres, mais vous pouvez contrôler la façon dont vous réagissez à vos propres sentiments. En assumant la responsabilité de vos sentiments, vous serez plus à même de réagir sans vous trouver d'excuses.
StoryShot #6 : Formulez vos besoins et vos désirs en termes positifs.
Les besoins et les désirs sont mieux exprimés en termes positifs. Par exemple, au lieu de dire "J'ai besoin que tu arrêtes de me crier dessus", essayez "J'ai besoin que tu me parles d'une voix calme". Lorsque vous énoncez vos besoins et vos désirs en termes positifs, il est beaucoup plus facile pour l'autre personne de comprendre et de répondre de manière utile.
StoryShot #7 : Les besoins sont universels, mais les moyens de les satisfaire ne le sont pas.
Nous avons tous les mêmes besoins fondamentaux, mais les moyens de les satisfaire ne sont pas toujours les mêmes. Il est essentiel de faire preuve de créativité et de souplesse pour trouver des moyens de répondre à vos besoins. Lorsque vous pouvez le faire, il est beaucoup plus facile de trouver des solutions pratiques.
StoryShot #8 : Écouter avec empathie en validant et en posant des questions
Lorsque vous écoutez avec empathie, vous validez les sentiments et les besoins de l'autre personne. Vous posez également des questions pour clarifier votre compréhension. Cela aide l'autre personne à se sentir entendue et comprise, ce qui est essentiel dans la communication.
StoryShot #9 : Regardez-vous et vos besoins avec empathie
Il est essentiel de se considérer avec empathie. Cela signifie comprendre et accepter vos propres besoins. Il est beaucoup plus facile de répondre à vos besoins lorsque vous pouvez le faire.
StoryShot #10 : Arrêtez de vous punir vous-même et les autres
Se punir et punir les autres ne fait que créer davantage de conflits et de blessures.
Il est essentiel de trouver des moyens plus réalistes de répondre à vos besoins. Lorsque vous y parvenez, il est beaucoup plus facile de résoudre les conflits. Lorsque vous cessez de vous punir et de punir les autres, vous avez plus de chances de trouver des solutions bénéfiques.
Réflexions finales sur la communication non violente
La communication non violente de Marshall Rosenberg est un livre qui a aidé de nombreuses personnes à améliorer leurs compétences en matière de communication.
La communication non violente vous aide à améliorer votre communication en vous apprenant à :
- Écoutez avec empathie
- Séparer les observations des jugements
- Assumez la responsabilité de vos sentiments
- Formulez vos besoins et vos désirs en termes positifs
- Les besoins sont universels, mais les moyens de les satisfaire ne le sont pas.
- Arrêtez de vous punir et de punir les autres
En suivant les conseils ci-dessus, vous pouvez commencer à communiquer avec compassion. Notre résumé du livre Communication non violente est une excellente ressource pour en savoir plus sur l'amélioration de vos compétences en communication. Ce livre est une excellente ressource si vous souhaitez améliorer votre capacité à communiquer avec vos amis et vos proches.
Quel est votre plat à emporter préféré ? Avons-nous manqué quelque chose d'important ? Faites-le nous savoir en commentant ci-dessous.
Classement
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Merci pour ce résumé concis qui nous apprend à vivre en paix avec soi-même et avec les autres.